Samedi rugby ! Synonymes de...
On aurait pu chanter "en rouge et noir" ce samedi après-midi avec la réception à Mayol du Stade Toulousain.
Un test-match autant pour les toulousains après leur dernière sortie en demi-teinte, que pour les chouchous !
Cette après-midi fut synonyme de bien de sentiments...
Synnonyme d'interrogation, à savoir la couleur de nos maillots (en blanc), le pilou-pilou de l'aïoli (un pied de nez au cassoulet ?) l'essai de Vincent Clerc (accordé après arbitrage vidéo, mais pas de polémique présidentielle), la pénalité sur Jonny Wilkinson dans un regroupement (faut m'expliquer comment il fait pour sortir avec 3 toulousains sur la couenne ?)...
Synonyme de frustration, avec le Sir-chouchou et ce manque actuel de réussite au pied, ainsi que ces tentatives de drop (ratées) au détriment d'essais et de lancements de jeu qui s'avèreraient plus glorieux (on veut du jeu !!!)...Mais difficile de critiquer un des bijoux de la reine...
Synonyme de colère, avec ces picks and go à 5 minutes de la fin du match...au risque de se faire pénaliser, et de voir le pied de Lionel Beauxis faire envoler les 4 points de la victoire....Petit bras, pas de chocolat (au revoir les 5 points du bonnus offensif), ces Messieurs les commentateurs (c'est David Smith et pas Dan, revoyez vos fiches !!!), et pour finir le chouchou de la maison (et ces décibels ou envolées lyriques, c'est comme on veut, faudra peut-être penser à #thevoice2 !).
Synonyme de satisfaction, avec ce magnifique tifo en tribune finale, le magic-Steffon Armitage, Matt Giteau et Alexis POlisson, notre paquet d'avants (Carl Hayman, Sébastien Bruno et Eifion Lewis Roberts), la superbe percée de Juan Martin Fernandez Lobbe (joli retour d'un autre chouchou), et enfin le tout jeune Pierrick Gunther à l'avenir prometteur !
Synonyme de joie, avec cette victoire (chaud, chaud c'était chaud) des chouchous avec l'accession en barrages à domicile ?)
Toulon - Toulouse : 25 - 22
Merci Jess pour la photo...
Source : le blog de Jess
“En rugby, il y a ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent”. Pierre Danos